
Le cancer de la vessie, plus fréquent qu’on ne le pense !
Deux tiers des patients souffrant d’un cancer de la vessie ont plus de 70 ans. Le tabac reste le principal facteur de risque.
Deux tiers des patients souffrant d’un cancer de la vessie ont plus de 70 ans. Le tabac reste le principal facteur de risque.
Docteur Gygi nous a très bien expliqué le cancer de la vessie, ses enjeux et ses dangers. Mais que se passe-t-il en pratique ? Rencontre !
J’ai découvert la trichophagie en même temps que je rencontrais un nouveau collègue de travail. Jamais je n’aurais cru que les plaques sans cheveux et sans barbe, étaient dues à un trouble dont il souffrait : la trichophagie. Explications.
Qui n’a pas connu la situation embarrassante de se faire prescrire un examen médical dont le nom n’invoque absolument rien et écarquille vos yeux ?
Il y a environ 6’300 nouveaux cas de cancer du sein par an en Suisse et il existe 3 sous-types de cancer. On fait le point.
Prendre soin de soi n’a jamais été aussi tendance. A l’heure où les injonctions à prendre du temps pour soi, créer des limites entre vie professionnelle et vie privée et traiter son bien-être psychique aussi sérieusement que sa santé physique, sont partout, cela est d’autant plus vrai pour les personnes atteintes d’une maladie grave.
Deux tiers des patients souffrant d’un cancer de la vessie ont plus de 70 ans. Le tabac reste le principal facteur de risque.
Docteur Gygi nous a très bien expliqué le cancer de la vessie, ses enjeux et ses dangers. Mais que se passe-t-il en pratique ? Rencontre !
J’ai découvert la trichophagie en même temps que je rencontrais un nouveau collègue de travail. Jamais je n’aurais cru que les plaques sans cheveux et sans barbe, étaient dues à un trouble dont il souffrait : la trichophagie. Explications.
Qui n’a pas connu la situation embarrassante de se faire prescrire un examen médical dont le nom n’invoque absolument rien et écarquille vos yeux ?
Il y a environ 6’300 nouveaux cas de cancer du sein par an en Suisse et il existe 3 sous-types de cancer. On fait le point.
Prendre soin de soi n’a jamais été aussi tendance. A l’heure où les injonctions à prendre du temps pour soi, créer des limites entre vie professionnelle et vie privée et traiter son bien-être psychique aussi sérieusement que sa santé physique, sont partout, cela est d’autant plus vrai pour les personnes atteintes d’une maladie grave.