Diagnostiquée d’un cancer du poumon de stade 4, Delphine a transformé le chapitre le plus sombre de sa vie en une véritable force. Aujourd’hui, son association à but non lucratif «Healing Joy» apporte de l’espoir et de la joie à ceux qui luttent contre des maladies graves.
Que vous ayez 30 ans, 40 ou 60 ans, que vous soyez de sexe masculin, féminin ou non binaire, vous êtes tous concernés …
À l’ère du numérique, l’internet regorge d’une quantité impressionnante d’informations sur presque tous les sujets, y compris la santé et la médecine. Si cette démocratisation de l’information a apporté de nombreux avantages, elle a également engendré un terrain propice à la désinformation !
L’annonce d’un diagnostic de cancer est une étape difficile tant pour les patients que pour les médecins. Pour les uns, c’est la peur du pire et de l’inconnu tandis que pour les autres, il s’agit de trouver les bons mots pour annoncer un diagnostic difficile.
Aux yeux du monde, une «maladie rare» peut sembler une aberration, une exception à la norme. Mais pour les personnes qui vivent avec ces maladies, il n’y a rien de rare dans les luttes quotidiennes, la quête constante de compréhension et le désir profond d’entrer en contact avec d’autres personnes qui partagent les mêmes difficultés.
Diagnostiquée d’un cancer du poumon de stade 4, Delphine a transformé le chapitre le plus sombre de sa vie en une véritable force. Aujourd’hui, son association à but non lucratif «Healing Joy» apporte de l’espoir et de la joie à ceux qui luttent contre des maladies graves.
Que vous ayez 30 ans, 40 ou 60 ans, que vous soyez de sexe masculin, féminin ou non binaire, vous êtes tous concernés …
À l’ère du numérique, l’internet regorge d’une quantité impressionnante d’informations sur presque tous les sujets, y compris la santé et la médecine. Si cette démocratisation de l’information a apporté de nombreux avantages, elle a également engendré un terrain propice à la désinformation !
L’annonce d’un diagnostic de cancer est une étape difficile tant pour les patients que pour les médecins. Pour les uns, c’est la peur du pire et de l’inconnu tandis que pour les autres, il s’agit de trouver les bons mots pour annoncer un diagnostic difficile.
Aux yeux du monde, une «maladie rare» peut sembler une aberration, une exception à la norme. Mais pour les personnes qui vivent avec ces maladies, il n’y a rien de rare dans les luttes quotidiennes, la quête constante de compréhension et le désir profond d’entrer en contact avec d’autres personnes qui partagent les mêmes difficultés.
