Il s’agit du cancer le plus fréquent dans la population féminine bien que les hommes puissent aussi être touchés. Face aux peurs et aux questions que tout patient se pose tout au long du chemin thérapeutique, le rôle de l’infirmière référente est essentiel.
Deux tiers des patients souffrant d’un cancer de la vessie ont plus de 70 ans. Le tabac reste le principal facteur de risque.
Qui n’a pas connu la situation embarrassante de se faire prescrire un examen médical dont le nom n’invoque absolument rien et écarquille vos yeux ?
Il y a des rencontres qui vous insufflent une énergie incroyable, même quand le sujet est grave.
Désirée a 49 ans lorsqu’un cancer hormonosensible lui est diagnostiqué au sein droit. Alors qu’elle se remet à peine de cette épreuve, le sort s’acharne avec encore un cancer détecté, cette fois au sein gauche.
Bien que le dépistage du cancer du sein par une mammographie et les consultations régulières chez le gynécologue permettent de détecter d’éventuelles tumeurs, l’autopalpation reste un moyen très efficace pour déceler toute anomalie.
La chimiothérapie reste nécessaire pour le traitement de plusieurs types de cancer du sein. Dans certaines situations, elle est toutefois inutile. Le test génomique permet dans certains cas, d’échapper à la chimiothérapie. Explications.
Pour de nombreuses personnes, nausées et vomissements sont intimement liés à la chimiothérapie. Fort heureusement, certains médicaments permettent aujourd’hui d’atténuer voire de supprimer ces effets secondaires.
Grâce à un test génomique, il est aujourd’hui possible d’éviter une chimiothérapie chez une majorité de femmes ayant un cancer du sein hormono-sensible à un stade précoce.
Ivana avait 33 ans lorsqu’on lui diagnostique un cancer du sein qu’elle avait elle-même préalablement détecté. Quelques années plus tard, pensant être guérie malgré des signes précurseurs, le couperet tombe une nouvelle fois.
Il s’agit du cancer le plus fréquent dans la population féminine bien que les hommes puissent aussi être touchés. Face aux peurs et aux questions que tout patient se pose tout au long du chemin thérapeutique, le rôle de l’infirmière référente est essentiel.
Deux tiers des patients souffrant d’un cancer de la vessie ont plus de 70 ans. Le tabac reste le principal facteur de risque.
Qui n’a pas connu la situation embarrassante de se faire prescrire un examen médical dont le nom n’invoque absolument rien et écarquille vos yeux ?
Il y a des rencontres qui vous insufflent une énergie incroyable, même quand le sujet est grave.
Désirée a 49 ans lorsqu’un cancer hormonosensible lui est diagnostiqué au sein droit. Alors qu’elle se remet à peine de cette épreuve, le sort s’acharne avec encore un cancer détecté, cette fois au sein gauche.
Bien que le dépistage du cancer du sein par une mammographie et les consultations régulières chez le gynécologue permettent de détecter d’éventuelles tumeurs, l’autopalpation reste un moyen très efficace pour déceler toute anomalie.
La chimiothérapie reste nécessaire pour le traitement de plusieurs types de cancer du sein. Dans certaines situations, elle est toutefois inutile. Le test génomique permet dans certains cas, d’échapper à la chimiothérapie. Explications.
Pour de nombreuses personnes, nausées et vomissements sont intimement liés à la chimiothérapie. Fort heureusement, certains médicaments permettent aujourd’hui d’atténuer voire de supprimer ces effets secondaires.
Grâce à un test génomique, il est aujourd’hui possible d’éviter une chimiothérapie chez une majorité de femmes ayant un cancer du sein hormono-sensible à un stade précoce.
Ivana avait 33 ans lorsqu’on lui diagnostique un cancer du sein qu’elle avait elle-même préalablement détecté. Quelques années plus tard, pensant être guérie malgré des signes précurseurs, le couperet tombe une nouvelle fois.
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