
Rentrée scolaire et diabète de type 1
En Suisse, l’incidence du diabète de type 1 chez l’enfant et adolescent de moins 16 ans est aujourd’hui estimée à environ 15 personnes par 100,000 habitants par an.
En Suisse, l’incidence du diabète de type 1 chez l’enfant et adolescent de moins 16 ans est aujourd’hui estimée à environ 15 personnes par 100,000 habitants par an.
L’obésité et le diabète sont tous deux considérés comme des maladies de société, et la tendance est à la hausse.
Diabétique de type 1 depuis qu’elle a 8 ans, Francine, âgée de 65 ans, n’avait pratiquement jamais connu l’insouciance d’une journée sans injection d’insuline.
Jamais elle n’aurait pensé pouvoir un jour connaitre son taux de glucose sanguin avec précision si facilement. Elle, c’est Claudia, âgée de 68 ans et atteinte du diabète de type 2 depuis 18 ans.
A 33 ans, Michela Frei attend son premier enfant. Enceinte de 4 mois, elle a une vie professionnelle et sociale bien remplie. Très jeune, cette battante a décidé que la maladie ne la dominerait pas.
Vivre avec le diabète nécessite une prise en charge autonome tout au long de la vie qui exige un engagement élevé de la part de l’individu si l’on veut préserver à la fois la sante à long terme et la qualité de vie.
Processus d’accompagnement par le corps médical, l’éducation thérapeutique est essentielle pour améliorer le bien-être et le vécu quotidien des personnes souffrant de maladies chroniques.
Le diabète est une maladie chronique qui concerne environ 6% de la population suisse et 130 000 personnes en Suisse romande.
Nicole Gerber, 52 ans, est une femme pleine d’énergie. Atteinte de diabète depuis l’âge de 12 ans, elle a connu des hauts et des bas. L’amour de son mari ainsi que les dernières prouesses technologiques lui ont permis de surmonter les affres de la maladie et de vivre presque normalement.
Comprendre la différence entre les diabètes de type 1 et 2 est déjà une mission compliquée. A cela s’ajoute de nouveaux termes : glycémie, insuline, pancréas. On fait le point.
En Suisse, l’incidence du diabète de type 1 chez l’enfant et adolescent de moins 16 ans est aujourd’hui estimée à environ 15 personnes par 100,000 habitants par an.
L’obésité et le diabète sont tous deux considérés comme des maladies de société, et la tendance est à la hausse.
Diabétique de type 1 depuis qu’elle a 8 ans, Francine, âgée de 65 ans, n’avait pratiquement jamais connu l’insouciance d’une journée sans injection d’insuline.
Jamais elle n’aurait pensé pouvoir un jour connaitre son taux de glucose sanguin avec précision si facilement. Elle, c’est Claudia, âgée de 68 ans et atteinte du diabète de type 2 depuis 18 ans.
A 33 ans, Michela Frei attend son premier enfant. Enceinte de 4 mois, elle a une vie professionnelle et sociale bien remplie. Très jeune, cette battante a décidé que la maladie ne la dominerait pas.
Vivre avec le diabète nécessite une prise en charge autonome tout au long de la vie qui exige un engagement élevé de la part de l’individu si l’on veut préserver à la fois la sante à long terme et la qualité de vie.
Processus d’accompagnement par le corps médical, l’éducation thérapeutique est essentielle pour améliorer le bien-être et le vécu quotidien des personnes souffrant de maladies chroniques.
Le diabète est une maladie chronique qui concerne environ 6% de la population suisse et 130 000 personnes en Suisse romande.
Nicole Gerber, 52 ans, est une femme pleine d’énergie. Atteinte de diabète depuis l’âge de 12 ans, elle a connu des hauts et des bas. L’amour de son mari ainsi que les dernières prouesses technologiques lui ont permis de surmonter les affres de la maladie et de vivre presque normalement.
Comprendre la différence entre les diabètes de type 1 et 2 est déjà une mission compliquée. A cela s’ajoute de nouveaux termes : glycémie, insuline, pancréas. On fait le point.