Top 5 des aliments qui font péter

Inconfort, douleurs, gênes … quels sont les aliments en cause ? Le top 5 des aliments qui font péter c’est ici !

Par Adeline Beijns

Les crudités

Leurs fibres entraînent une fermentation dans le colon dont vous aimeriez bien vous passer ! Cuites, les fibres fermentent moins et produisent ainsi moins de gaz.

Les boissons gazeuses

Contenant un niveau élevé de gaz carbonique qui reste bloqué dans le système digestif, ces breuvages peuvent provoquer des ballonnements désagréables voire même des crampes.

Les oignons

Bien qu’ils soient souvent consommés en petites quantités, ils constituent l’une des principales sources de fructanes dans l’alimentation. Ces fibres solubles peuvent provoquer des flatulences bien embarrassantes

Les crucifères

Brocolis, choux, choux-fleurs et choux de Bruxelles ne sont pas vos alliés pour avoir un ventre plat ! La raffinose qu’ils contiennent peut être à l’origine de maux de ventre chez les personnes sensibles. Également riches en soufre, les pets peuvent être assez malodorants.

Les légumineuses

Riches en glucides et en fibres, les légumineuses telles que les haricots (noirs, rouges, blancs, azuki…), les lentilles (brunes, vertes, vertes du Puy, corail…), les pois (chiches, cassés), et les fèves favorisent la production de gaz dans les intestins.

Cet article vous a plu ?
Abonnez-vous à la version papier Salle d’attente pour avoir accès à toutes les informations sur le sujet: témoignages, tests, adresses utiles, infographies et autres.
Alors n’attendez-plus !
CHF39.00

Loading

Partagez sur

Facebook

Plus d’articles :

Gérer les émotions du patient : Accompagner l’annonce d’un diagnostic de cancer du sang

Le diagnostic de cancer du sang plonge souvent les patients dans un tourbillon d’émotions – peur, incertitude et tristesse. Dans cet article, le professeur Wolf Langewitz, professeur émérite de médecine et chargé de cours en psychosomatique et communication à l’université de Bâle, met à disposition son expertise pour aider les patients à traverser les turbulences psychologiques qui suivent un tel diagnostic.

Loading

Lire la suite »

Cancer du sein : la chimio n’est plus automatique

Souvent reconnue comme étant le premier signe visible d’un cancer du sein, la chimiothérapie reste un traitement redouté auprès des patientes. Fort heureusement, dans le cas de certains cancers hormono-dépendants, elle n’est plus automatique lorsque son bénéfice par rapport à un risque de récidive n’est pas prouvé. Une analyse spécifique de la tumeur permet en effet de mieux déterminer l’agressivité et le risque de récidive du cancer.

Loading

Lire la suite »

Alopécie : voir la beauté au-delà des cheveux

L’alopécie est un mot qui n’est peut-être pas familier à certains, mais qui a pourtant de grandes répercussions sur les personnes qui en sont atteintes. Cette affection, caractérisée par la perte de cheveux, touche des millions d’hommes et de femmes dans le monde.

Loading

Lire la suite »

À bout de souffle… déceler la BPCO

En Suisse, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) est la quatrième cause de mortalité. Dans cet article, nous parlons de l’importance du diagnostic précoce et des possibilités de gagner en bien-être même à un âge avancé, et nous expliquons en quoi la sexualité elle est aussi concernée. Interview avec Dr. Claudia Steurer-Stey, experte en BPCO et spécialiste en médecine interne et maladies pulmonaires, cheffe du département « Chronic Care » à l’Université de Zurich, cabinet mediX Zurich.

Loading

Lire la suite »